En
1 : le logement du personnel.
En Salle 2
et Salle3 : la poudrière
qui pouvait contenir 10 tonnes de poudre où étaient
entreposées les cartouches (Salle
3), et l’arsenal où étaient stockés
les obus (Salle 2). Quelques
bonnes caricatures de Winston
Churchill, dessinées
par un artiste de l’armée Allemande, y sont encore
visibles. On voyait, en 1945, un tableau de tir tracé
sur la paroi qui donnait, par une suite de traits, le nombre
de coups tirés. Tout est effacé, sauf une croix
gammée tenue dans les serres de l’aigle Hitlérien,
avec l’inscription allemande: "chacun
se brisera, l’Allemagne restera".
En Salle 4 :
emplacement du groupe électrogène assurant l’éclairage
et la force motrice nécessaire au déplacement
de l’affût et d'où étaient acheminées
les munitions. Le peintre a créé un drapeau
en trompe-l'oeil.
En 5 : une coupole d’acier, de 10 cm
d’épaisseur, permettait de surveiller les environs.
En Salle 6 :
un vestibule conduit d’une part, par un escalier aujourd’hui
obstrué, au sous-sol ; d’autre part au grand
abri circulaire qui abritait le canon. Le gros cône
de béton sur lequel était scellé le pivot
retenant l’affût, est encore en parfait état.
En Salle 7 :
pivotant sur des rails, le canon pouvait se déplacer
de 52° de hauteur et de plus de 90° en largeur. |